et la musique

 Un chanteur que j'ai suivi . Olympia à Paris avec la navigatrice décédée suite à  un accident d'hélicoptère pour une émission qui n'a jamais vu le jour., et  Tours.

Comme Charles Dumont. 

Souviens toi, souviens-toi de  l'Atlantique, toi, moi

souviens toi de nos jeux impudiques. Souviens toi de notre amour euphorique

et le creux de la vague se modelant sur ton sein

souvenirs comme toi, Pierre

boulou

Ce film copié sur une pièce de théâtre;

Clint Eastwood et Meryl Streep. Exceptionnels de sensibilités, d'amour.

La scène finale si triste.

elle n'a pas ouvert la poignée. Entre raison et passion. Entre " dis moi pourquoi je devrais partir" et amour.

Magnifique film.

et les commentaires

- j' ai vécu la même expérience et moi aussi j'ai dû faire un choix très déchirant. Je suis restée avec le père de mes enfants. Cela a été très long avant que j'arrive à l' oublier, mais je garde dans mon coeur de beaux souvenirs de lui et tout l'été que j'ai passé avec lui....

- C’est aussi mon histoire avec V. Cela est et restera une déchirure terrible pour moi....

- Le Grand Amour si beau si Magique et si fragile aussi

et autres sur commentaires

Dans ce même bâtiment à Tours, ma ville, peu après j'ai vu le concert de Pierre Bachelet.

 la salle bondée. Florence et Pierre. Amen, hélicoptère pour l'une et cancer pour l'autre.

Du nord mais enterré à Saint Tropez.

 Histoire d'O

roissy

Il a 93 ans.

Le compositeur, le chanteur. Dalida, Gloria Lasso, Tino Rossi

et surtout toutes ses chansons écrites pour Edith Piaf. ( non, je ne regrette rien, Mon Dieu, etc. 41 titres pour Piaf.)

Et tant de chansons. Femme de mes pensées, femme de mes tourments. Tu viens pour oublier, 

tes lèvres sur ma peau. Ta vie est ailleurs.

une chanson

A 45 ans, c’est une femme usée, malade. Elle embrasse Michel et m’adresse un petit signe de tête pas très accueillant et me lance : “Faites-moi rapidement écouter votre truc, je suis très fatiguée.” Je me mets au piano et j’interprète avec rage “Non, je ne regrette rien”.

J’arrive chez Edith vers 17 heures, quand elle se lève. On prend le thé et on discute des heures sur son canapé qui a fait toutes les guerres… Je m’en vais le matin, après qu’on a refait le monde et parlé musique. Elle a une ­véritable cour autour d’elle, mais je la sens très seule. 

 Je lui écris des dizaines de chansons, et elle m’oblige à interpréter sur scène avec elle “Les amants”…

Lors de l'un de ses concerts, c'était à Tours, il a fait un triomphe. Toute la salle bondée, les spectateurs  debout, à la fin, . Des applaudissements qui n'en finissaient pas. Je n'avais jamais vu ça.